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"Tué" ou "être tué": une loi de la nature?

Photo du rédacteur: Miriam EYRMiriam EYR


La nature est si parfaite que chaque cellule de notre corps a une fonction bien spécifique.

Aucune cellule ne se lève un matin et se dit : "tiens! et si j'étais une celulle de pancréas? ou de foie?"

Chaque cellule a son télos, un sens et un chemin bien défini par le système.

Si une cellule décide de changer sa fonction : Elle est aussitôt tué par le système. Autrement dit c'est un suicide!

D'autre part, si elle réussit son coup, elle devient une cellule métastase qui se propage par division cellulaire et ainsi se multiplie et se développe jusqu'à atteindre d'autres organes : un cancer.

Toutes les personnes dans l'histoire qui ont accompli des grands destins et manifesté des changements notables, ont osé quitter le système :) Ils ont été critiqué, pourchassé, puis adulé, souvent même après leur mort...

Si nous prenons un peu de hauteur et nous avons une lecture sans charges sans référence de bien ou de mal... Si le mot " être tué", "suicide", "cancer" étaient dépourvu pour un instant de moralité ou de notions pathologiques qu'on lui attribut, si nous avons une lecture au niveau d'une cellule...on pourrait entrevoir ou lire :

"changer de peau", "changer identité", "grandir", "expansion", "conquête", "exploration", "diffusion", "guérison"

Un des besoin vitaux dont je fais référence dans une des videos "Croissance", c'est de grandir... et si nous le faisons pas, c'est l'autodestruction qui se profile et là c'est votre propre système qui vous détruit.


A chaque "Burn out", ce qui se passe c'est que nous n'avons pas entendu notre besoin de changer quelque chose dans notre environnement, par peur, culpabilité ou autre, et ce "non-changement" est fatal.


Pour plaire, être aimé ou satisfaire autrui, on enterre petit à petit chaque cellule de nos besoins vitaux jus'a ne plus savoir comment ça a commencé... Mettre de la valeur sur ses propres besoins à chaque instant est essentiel pour notre bien-être.


La façon la plus simple de vous y interroger est :

Est que c'est bon pour moi?

A combien de bien-entre je suis de le faire ou de l'accepter?

A combien de certitude? etc


et là, vous adapter votre thermostats et vous n'êtes plus en "sur-adaptation".





 
 
 

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